Marseille, une ville touristique La cité portuaire de Marseille s’étend sur le littoral méditerranéen, entre les parcs naturels régionaux de Camargue et de la Sainte-Baume. Sa façade maritime en fait un port français important, mais c’est bien sûr les Calanques qui font la richesse naturelle des lieux. Aix-en-Provence se situe à une trentaine de kilomètre au nord, Cassis, très proche, se situe à l’est. Véritable emblème du tourisme en Provence, c’est aussi l’extrémité ouest de la Côte d’Azur. Deuxième ville en population, suivie de Lyon, Marseille est considérée comme l’une des plus anciennes de France avec Béziers. Fondée au VIe siècle avant Jésus-Christ, ce sont des Grecs venus de Phocée qui en sont à l’origine. C’est pour cela d’ailleurs qu’elle est surnommée la “cité phocéenne”. L’histoire de Marseille une cité tournée vers la mer En tant que colonie phocéenne, la cité grecque de Massalia eut un développement rapide et prospère et créa rapidement les colonies de Nice et d’Antibes. Après la période grecque, la ville devint romaine dès le IIe siècle avant Concurrente de Narbonne pour la puissance, elle devient grâce au monastère qui s’y établit au Ve siècle par Jean Cassien abbaye Saint-Victor une cité des plus influentes. Au Moyen-Âge, son territoire est une vicomté dépendante des comtes de Provence. Du fait des croisades, les routes commerciales confluèrent naturellement vers Marseille qui retrouve alors sa prospérité. Le siège mené par Charles Quint échoua en 1536, preuve que les fortifications de Notre-Dame-de-la-Garde et sur l’île d’If voulues par François Ier eurent un intérêt stratégique. Les monuments et lieux emblématiques à visiter à Marseille Malgré une histoire riche, peu des monuments qui existèrent ont affronté l’épreuve des siècles. C’est notamment le cas des vestiges antiques, présents en moindre nombre qu’à Nîmes par exemple. Cependant, la ville ne manque pas de lieux authentiques à visiter. En effet, les sites naturels ainsi que les monuments possèdent une véritable identité ancrée au bord de la Méditerranée. 1. L’abbaye Saint-Victor de Marseille L’abbaye Saint-Victor, important lieu du tourisme religieux Il s’agit de l’une des plus anciennes abbayes de France, fondée par le moine et saint Jean Cassien. Le culte chrétien y est très ancien, puisqu’il remonte au IVe siècle. Ce fut à l’origine une véritable nécropole qui accueillit les corps de Martyrs, notamment Saint Victor. Le prestige de l’abbaye en fit une des principales puissances de Provence, notamment au Moyen-Âge. L’église est toujours dédiée au culte catholique aujourd’hui. Ses cryptes abritent une collection de sarcophages du IVe siècle depuis que le Maire Gaston Deferre les y a fit installer à nouveau dans les années 1960. Ces sarcophages se trouvaient auparavant au sein du château Borély. Richesses archéologiques et architecture romane font ainsi le bonheur des visiteurs de ce monument religieux unique. Au moment de la chandeleur, le 2 février, la basilique est le lieu d’une tradition propre à Marseille. C’est en effet à ce moment qu’une procession arrivant du Vieux-Port met à l’honneur la Vierge Noire en noyer, vêtue de vert pour l’occasion. S’ensuit alors la bénédiction par l’archevêque de la ville, des cierges verts couleur des Comtes de Provence et de la Vierge, puis celle des Navettes, qui sont des pâtisseries typiques au parfum de fleur d’Oranger. 2. Le Vieux-Port un site historique et touristique On ne pas pas parler de Marseille sans évoquer son Vieux-Port ! Ce lieu touristique est non seulement une ouverture maritime importante qui fit la prospérité commerciale de la ville avant que le Grand port maritime ne prenne son essor au XIXe siècle. Mais le Vieux-Port est aussi le quartier historique autour duquel les activités culturelles de la vie marseillaise ont lieu. Il faut dire qu’il s’agit du plus ancien port de la ville, là où débarquaient déjà les marins il y a plus de deux millénaires. Incontournable, le marché aux poissons où les pêcheurs vendent le fruit de leur pêche à la criée est très typique. Les vieux bateaux en bois appelés Pointus côtoient les navires de plaisance, dans une atmosphère authentique. Aussi, les terrasses et cafés ensoleillés inspirent la convivialité sur les quais du Vieux-Port. L’été, l’Ombrière, qui est un miroir disposé sur l’esplanade du port, prodigue de la fraîcheur. Haut lieu du tourisme, c’est aussi un endroit animé. Cette ambiance se retrouve également lors d’événements festifs tels que le marché de Noël et la Foire aux Santons. Par ailleurs, connaissiez-vous cette expression populaire qui désigne une histoire à dormir debout ? “C’est la Sardine qui a bouché le port de Marseille”. Cela proviendrait pourtant d’une histoire vraie la frégate Sartine bloqua au XVIIIe siècle l’entrée du Vieux-Port. La cité phocéenne est reliée à Martigues par le canal de Marseille au Rhône. La rade de Marseille tout d’abord est reliée à l’étang de Berre par le tunnel du Rove, un canal souterrain creusé sous le massif de la chaîne de L’Estaque. Long de 7 kilomètres, cet ouvrage s’est toutefois écroulé en 1963, ce qui depuis empêche la liaison entière. Malgré tout, cet ensemble de canaux se poursuit jusqu’à Arles sur le Rhône, avec un charme pittoresque. Les espaces naturels environnants y sont d’ailleurs représentatifs de la faune et de la flore locales. 3. Le Jardin des Vestiges, un port antique Ce site touristique représente un lieu emblématique de l’histoire antique de Marseille. En effet, mis au jour en 1967 au moment de l’édification du Centre Bourse, lors de fouilles archéologiques, il s’agit du Port Antique de Marseille. Aujourd’hui, les lieux ont été aménagés en un jardin afin d’y permettre la promenade. La voie romaine dallée correspond à l’axe du site, tandis que les remparts grecs forment un ensemble de fortifications. Sont encore visibles un bassin d’eau douce ainsi que les quais. Recouverte par la vase, l’épave d’un bateau de 23 mètres a été découverte. Conservé au Musée d’Histoire de Marseille, il s’agit du plus grand navire de commerce de l’Antiquité préservé. 4. Notre-Dame de la Garde, qui veille sur la cité Surplombant la ville à plus de 160 mètres de hauteur, Notre-Dame de la Garde protège les marins du Vieux-Port. Cette basilique fut bâtie en 1853 dans un style romano-byzantin. Surnommée la Bonne Mère, l’édifice est bâti sur un promontoire qui a toujours été un point stratégique. C’est en réalité un très ancien lieu de pèlerinage. Auparavant s’y élevait une chapelle du XIIIe siècle, plusieurs fois reconstruite. L’intérieur de Notre-Dame-de-la-Garde est richement décoré, de mosaïques notamment. Très touristique, la basilique offre un panorama remarquable sur les alentours. . Vous pourrez notamment y apprécier les collines environnantes. Quoi de mieux que d’y admirer le soleil couchant, par exemple ? 5. Le château d’If ancienne forteresse Popularisé par Alexandre Dumas dans son roman illustre “Le Comte de Monte-Cristo”, le château d’If est construit sur l’île du même nom, à quatre kilomètres de Marseille. La forteresse, autrefois une prison, est un des sites les plus visités. Dans la rade parfois agitée par le Mistral, l’édification sur l’archipel du Frioul de ses fortifications prit une forme ramassée, carrée. Militaire, l’îlot servit aussi contre les attaques extérieures. Ainsi Vauban remania les zones de batteries. 6. Les Calanques des falaises préservées sur la mer marseillaise Comment ne pas évoquer les magnifiques Calanques qui composent une partie du littoral marseillais ! Si Cassis est renommée pour ses calanques, la cité phocéenne possède aussi une partie de ce riche patrimoine. Accessible au détour d’une visite du littoral en bateau, ou bien d’une randonnée, cet ensemble géologique remarquable est un écrin naturel. Sauvage, peuplé de pins, ce littoral escarpé a de quoi faire rêver. Emblématiques du tourisme dans la région, les calanques se découvrent toujours avec beaucoup de surprise, que ce soit par la mer ou les sentiers. Se prélasser au creux d’une crique est un véritable moment de repos. 7. Le Palais Longchamp arrivée de la Durance Avec ses superbes sculptures, le Palais Longchamp est un monument historique datant du Second Empire. Ce magnifique palais est en fait un château d’eau ! Effectivement, construit en 1839 afin de mettre à l’honneur le canal de Marseille mis en construction dès 1834, il est l’endroit d’arrivée des eaux de la Durance. Aussi, des bassins et des jardins complètent l’architecture des lieux orientés vers le tourisme et la culture. Deux musées sont en effet installés dans les ailes, le muséum d’histoire naturelle et le musée des Beaux-Arts. 8. Le quartier du Panier À deux pas du Vieux-Port, le quartier historique du Panier, le plus ancien de Marseille, vous fera découvrir ses ruelles pittoresque et escarpées. Ombragé par des façades de maisons colorées, le quartier est appréciable pour la fraîcheur qu’il procure lors des fortes chaleurs. Commerces et places parsèment les lieux, offrant aux touristes l’occasion d’une promenade sur la Butte du Panier. Vous trouverez ainsi la place de Lenche, qui, à l’emplacement d’une agora grecque devenu forum durant l’époque romaine, présente aujourd’hui ses terrasses idéales pour prendre une verre. En descendant les escaliers, vous accéderez tout de suite au port. La Vieille Charité, ancien hospice réalisé par Pierre Puget, forme un monument remarquable du Panier, au même titre que l’église Notre-Dame-des-Accoules, de style gothique méridional et à l’histoire mouvementée. 9. Le Vallon des Auffes Logé dans une anse, le petit port de pêche du vallon des Auffes est pittoresque. L’auffe est une plante dont on fait depuis longtemps des filets de pêche. La pêche traditionnelle y est pratiquée, et des Pointus y jettent l’ancre auprès des charmantes maisons de pêcheurs. Pittoresque, préservé, il est traversé par un pont de la route touristique appelée Corniche Kennedy. Le port du vallon des Auffes fait en outre face aux Îles du Frioul, archipel constitué de quatre îles. 10. Le Fort Saint-Jean, et le Fort Saint-Nicolas La Tour du Roi René du Fort Saint-Jean Véritable gardien à l’entrée du Vieux-Port, le site Fort Saint-Jean atteste d’une présence ancienne. La majeure partie de ses fortifications militaires du XVIIe siècle font suite à une ancienne commanderie d’Hospitaliers de Saint-Jean de Jérusalem. Aussi l’édification de la Tour du Fanal en 1664, visible de loin, fut une volonté des armateurs marseillais. La Tour carrée, elle, a été voulue par le roi René en 1447 à la place de la tour Maubert, ruinée avec le sac de la ville en 1423. Face au Fort Saint-Jean, se trouve le Fort Saint-Nicolas, de l’autre côté du Vieux-Port. Construit en 1660, il est à l’emplacement d’une chapelle du XIIe siècle. Avec sa forme ramassée, sa vocation était celle d’une citadelle. Vauban fut toutefois extrêmement critique à l’égard de cet édifice d’un point de vue militaire. Que manger à Marseille ? La gastronomie phocéenne La cuisine provençale est naturellement ensoleillée. La cité phocéenne ne manque naturellement pas de plats authentiques et typiques de la région. La célèbre Bouillabaisse est l’une des spécialités les plus appréciées de la ville. Cet incontournable de la gastronomie locale est une soupe de poissons servies avec des croûtons de pain et une sauce rouille provençale. Oursinades, sardinades ou encore Moules à la Provençale parsèment les cartes des restaurants. Les Navettes, biscuits secs au parfum de fleurs d’Oranger. Le pastis, apéritif à base d’anis et de réglisse. Marseille, une culture authentique et touristique La ville est classée Ville d’Art et d’Histoire, et elle possède encore une agréable typicité méditerranéenne. Dans la culture, Marseille est représentée notamment au travers de la Trilogie marseillaise de Marcel Pagnol. On la retrouve également au cinéma avec les acteurs Alain Delon et Jean-Paul Belmondo dans Borsalino. Bien sûr la Provence possède plus largement un grands nombres de spécialités. Marseille a toutefois de nombreuses qualités, et des savoir-faire d’exception. Le savon de Marseille, particulièrement, est un emblème de l’artisanat local. Pourtant, la dénomination du “savon de Marseille” n’est pas réglementée géographiquement, mais elle correspond à une méthode de saponification à base d’huile végétale. Cette tradition provient d’un édit de Louis XIV signé par le fils de Colbert en 1688. Le Vieux-Port, la Bonne Mère ou encore les calanques possèdent un charme typique qui fait l’âme de Marseille. Au cours de votre visite dans la métropole, nous espérons que vous pourrez apprécier les nombreuses beautés que compte la ville. Le tourisme y est certes privilégié, mais n’oubliez pas que les alentours ont également bien de ressources à vous offrir. C’est là que débute la Côte d’Azur, qui va jusqu’à Menton… Voyage de France

TommasoCampanella (1568-1639), moine dominicain originaire de Calabre, (Thomae Campanellae Calabri) écrit son utopie Civitas Solis idea Republicae Philosophicae ("La Cité du Soleil, ou idée d’une république philosophique") en 1602, qui sera publiée en 1623 dans "Realis philosophiae epilogisticae partes quatuorA Thobia Adami nunc primum editae", Francofurti

regarder 0140 The Sandman Will Keep You Awake - The Loop Voir l'article principal Lieux Arena A ne pas confondre avec Lilmothiit Lilmoth est une ville du Marais Noir. Il est possible pour le Champion Éternel de s'y rendre dans The Elder Scrolls Arena. La ville est surnommée "Le joyaux suppurant du Marais Noir". Histoire Première Ère La ville a certainement été fondée par les Lilmothiits durant la première Ère, avant de passer sous le controle argonien étant donnée son nom. Durant la guerre de quatre-vingts ans, Lilmoth, qui faisait partie du Second Empire, envoya des troupes sous le commandement du chef de guerre Ulaqth lors de l'assaut de Longsanglot au coté de l'empereur Reman III[1]. La ville était dirigée à la fois par un Hist et un Prêtre-Roi, ou une Prêtresse-Reine durant cette époque. Troisième Ère En 3E 80, le chef de guerre de la ville est la cheftaine Ioa[2]. Le système de gouvernance de Lilmoth prit fin en 3E 109, lorsque le Prêtre-Roi argonien de la cité fut exécuté et remplaça par la reine Hellana, future épouse de Magnus Septim. On dit d'Hellana qu'elle représentait admirablement les intérêts du Marais noir, et son règne est considéré comme le début de la colonisation impériale[3]. Durant le Simulacrum Impérial, alors que les combats de gladiateurs se répandent dans Tamriel, la ville possédait sa propre équipe de gladiateurs nommée La Marée noire[4]. Quatrième Ère Après la Crise d'Oblivion, quand le Marais reprit son indépendance, l'An-Xileel reprit le pouvoir à Lilmoth et rétrograda les impériaux. Le parti entreprit de déterrer les ziggourats pour revenir aux temps pré-impériaux, et parmi eux le temple de Ixtaxh-thtithil-meht Nom argonien de Sithis. Les habitants d'origine étrangère et "non-agréés" furent déplacés dans un ghetto sur les quais. Vers 4E 40, alors que la cité volante d'Umbriel arrivait sur Tamriel, l'Hist local tenta de négocier avec pour éradiquer la cité de tout ce qui n'était pas An-Xileel. La cité se dirigea alors vers Lilmoth et absorba les âmes des habitants étrangers, ou des argoniens assimilés, nommés "lukiul". Cet évènement fut ensuite appelé "Le massacre de Lilmoth" ou "La purge de Lilmoth". Il n'y eu que deux survivants connus, la brétonne Annaïg Hoïnart et son ami argonien Mere-Glim[5]. Les villes de Fort-Tempête et de Gidéon subirent le même sort. Description Avant la colonisation impériale, la ville étaient uniquement batie selon les critères argoniens et comprenait beaucoup de ziggourats ou de statues en pierre d'idoles locales. Ces constructions furent ensuite englouties par la vase et la boue. L'architecture de la ville fut totalement repensée à la mode impériale par la suite, mais les batiments étaient extrèmement mal adaptés à l'environnement du Marais et devinrent vite insalubres. En 4E40, la ville est divisée en trois quartiers Bas-du-Pus le centre de Lilmoth où ne restent que les anciens batiments impériaux du début de la colonisation. Seuls les rejetés de la ville, les pauvres, les criminels ou les ennemis politiques de l'An-Xileel s'y réfugient. Ancien Quartier-Impérial Habité principalement par les argoniens, l'ancier quartier impérial est composé de vieilles batisses et de villas désormais gangrénées par les plantes grimpantes, les palmiers, les bambous et autres plantes envasives. L'endroit est décrit comme sombre et la nuit, n'est éclairé que par les moisissures phosphorescentes. Les Quais Suite aux multiples innondations et aux affaissements de terrain, les quais se sont progressivement enfoncés dans la vase et une partie des habitations flottent littéralement sur l'eau, reliées par un ponton. Suite à la prise de pouvoir de l'An-Xileel, les quais sont devenus un ghetto pour les étrangers, et les marchés en tout genre s'y entassent. Galerie Apparitions The Elder Scrolls Arena The Elder Scrolls La Cité infernale Références ↑ 2920, Semailles, vol. 3 ↑ La Reine-Louve, Livre I ↑ La Reine-Louve, Livre IV ↑ "Dark Tide" dans la version originale. ↑ The Elder Scrolls La Cité infernale Lesvilles côtières du Pacifique. Venice. Surnommée la « riviera américaine » , Santa Barbara est une ville de 88 978 habitants située sur la côte de l'État de Californie au pied des Santa Ynez Mountains, le long de l’océan Pacifique (à 145 km au nord de Los Angeles et 560 km au sud de San Francisco). Elle abrite la plus haute ^{403 ERROR The Amazon CloudFront distribution is configured to block access from your country. We can't connect to the server for this app or website at this time. There might be too much traffic or a configuration error. Try again later, or contact the app or website owner. If you provide content to customers through CloudFront, you can find steps to troubleshoot and help prevent this error by reviewing the CloudFront documentation. Generated by cloudfront CloudFront Request ID 2l_xBcb28FpbKJfi2L2lVgHUwhErRMu4ZhiWSWdzjfK7yD2_V0AuMA== Laville est surnommée le « port des chams » en référence à cette ethnie de confession musulmane qui possède sa propre langue. Le grand marché du centre-ville est un des seuls vestiges de cette ancienne ville coloniale. Désormais la cité est tournée vers le commerce du tabac et de . l’hévéa.}

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