Leformidable documentaire « Et si la mort n'existait pas ? », écrit et réalisé par Valérie Seguin & Dominic Bachy et que j’ai le plaisir de présenter, vient de dépasser les 3 millions de vues sur YouTube. Aurélie Godefroy. Tagged: Mes actualités, Et si la mort n'existait pas, Documentaire, Événement, YouTube. Newer Post Suite de la promotion de mon livre « DES
Publié le 24 nov. 2018 à 1400Mis à jour le 30 nov. 2018 à 1720C'est la grande, la fatidique question que se passe-t-il dans notre cerveau - et donc dans notre esprit, dans notre conscience - à la minute de notre mort ? La réponse, jusqu'ici, paraissait hors d'atteinte de l'investigation scientifique personne n'est jamais revenu de l'autre rive pour témoigner de ce qu'il avait vu et ressenti au moment de passer de vie à il y a bien ces récits troublants recueillis sur les lèvres de celles et ceux qui ont frôlé la mort de près. Regroupés sous l'appellation d' expériences de mort imminente » EMI, ils sont pris très au sérieux par une partie de la communauté des neuroscientifiques qui les répertorie et les décortique, comme le fait l'équipe du Coma Science Group à l'université de Liège lire ci-dessous.Mais, par définition, les survivants dont l'expérience a été reconnue comme authentique EMI après évaluation sur l'échelle de Greyson du nom du psychiatre américain Bruce Greyson, qui l'a proposée en 1983 ont échappé à la mort. Ils n'en ont vu que l'ombre. La mort elle-même et ce qu'elle provoque dans le cerveau du mourant demeurent entièrement nimbés de mystère. Du moins était-ce le cas jusqu'à cette année…Dans une étude publiée par la revue Annals of Neurology » qui a fait sensation - mais que la presse française a peu relayée, à l'exception du magazine Science et Vie » -, le professeur en neurologie expérimentale à l'université Charité de Berlin, Jens Dreier, détaille l'expérience extraordinaire à laquelle son équipe et lui se sont livrés sur neuf patients. Ces neuf personnes, toutes entrées en soins intensifs à la suite de blessures cérébrales, faisaient l'objet d'un monitorage neurologique lourd, plus invasif qu'un simple électroencéphalogramme. Il s'agit d'une technique non conventionnelle, qui permet d'enregistrer l'activité électrique du cerveau, y compris à de très basses fréquences, de l'ordre de 0,01 hertz », explique Stéphane Marinesco, responsable du Centre de recherche en neurosciences de Lyon. Les basses fréquences émises par le cerveau ont du mal à traverser le scalp, ce qui les rend indétectables aux appareils d'électroencéphalogramme dont les électrodes sont placées sur le cuir chevelu. Dans le système de monitorage dont étaient équipés les patients du service du Pr Dreier, les électrodes étaient placées à l'intérieur du crâne, et même sous la dure-mère, cette membrane rigide qui entoure le cerveau et la moelle accès aux très basses fréquences, correspondant à une activité électrique lente, a été la fenêtre qui a permis à Jens Dreier et son équipe de visualiser ce qui se passait dans le cerveau de personnes en train de mourir. Pour leur expérience, les neuroscientifiques allemands ont simplement demandé aux familles, une fois devenu évident que le patient ne survivrait pas à son accident, l'autorisation de poursuivre l'enregistrement jusqu'au bout. Et même un peu au-delà du bout », c'est-à-dire de la mort cérébrale, ce moment à partir duquel un classique électroencéphalogramme n'enregistre plus aucune activité cérébrale et que l'Organisation mondiale de la santé considère comme le critère médico-légal du de dépolarisationQu'ont montré les enregistrements réalisés à la Charité de Berlin ? Quelque chose de tout à fait fascinant, jusque-là inédit, et qui devrait peut-être amener les spécialistes à reconsidérer leur définition du décès et de son moment exact. Ce phénomène cérébral, indique l'étude, survient entre 2 et 5 minutes après l'ischémie, moment où les organes dont le cerveau ne sont plus alimentés en sang et donc en oxygène. Et il dure lui-même une petite dizaine de minutes. On peut l'assimiler à une sorte d'incendie électrique qui s'allume à un bout du cerveau et, de là, se propage à la vitesse de 50 microns par seconde dans tout l'encéphale avant de s'éteindre à l'autre bout, son oeuvre de destruction accomplie. Les neuroscientifiques parlent de vague de dépolarisation ».Pour maintenir le potentiel de membrane » qui lui permet de communiquer avec ses voisins sous forme d'influx nerveux lire ci-contre, un neurone a besoin d'énergie. Et donc d'être irrigué en permanence par le sang venu des artères qui lui apporte l'oxygène indispensable à la production de cette énergie sous forme d'adénosine triphosphate ATP. Tout le travail de Jens Dreier a consisté à observer ce qui se passait pour les neurones une fois que, le coeur ayant cessé de battre et la pression artérielle étant tombée à zéro, ils n'étaient plus alimentés en oxygène. L'étude a montré que les neurones se mettaient alors en mode 'économie d'énergie' », commente Stéphane Marinesco. Pendant les 2 à 5 minutes séparant l'ischémie de l'apparition de la vague de dépolarisation, ils puisent dans leurs réserves d'ATP pour maintenir leur potentiel de membrane. Pendant cette phase intermédiaire, au cours de laquelle le cerveau est littéralement entre la vie et la mort, celui-ci ne subit encore aucune lésion irréversible si l'apport en oxygène venait à être rétabli, il pourrait se remettre à fonctionner sans dommages en chaîneMais cette résistance héroïque des cellules nerveuses a ses limites. A un moment donné, en l'un ou l'autre endroit du cerveau, un premier neurone craque », c'est-à-dire qu'il dépolarise. Les stocks de potassium qui lui permettaient de maintenir son potentiel de membrane étant devenus inutiles, il les largue dans le milieu extra-cellulaire. Il agit de même avec ses stocks de glutamate, le principal neurotransmetteur excitateur du ce faisant, ce premier neurone initie une redoutable réaction en chaîne le potassium et le glutamate par lui libérés atteignent un neurone voisin dont ils provoquent aussitôt la dépolarisation ; à son tour, ce deuxième neurone relâche ses stocks et provoque la dépolarisation d'un troisième, etc. Ainsi apparaît et se propage la vague de dépolarisation, correspondant à l'activité électrique lente enregistrée par le système de monitorage spécifique utilisé à la Charité de Berlin. Le bouquet final » du cerveau sur le point de s'éteindre est d'autres circonstances de la vie où l'on observe des vagues de dépolarisation, un peu différentes en ceci qu'elles ne sont pas, comme ici, irréversibles. C'est notamment le cas dans les migraines avec aura, naguère appelées migraines ophtalmiques, car elles s'accompagnent de symptômes visuels qui peuvent être de simples distorsions du champ visuel, mais aussi, parfois, l'apparition de taches lumineuses, voire de véritables hallucinations assez similaires à celles rapportées dans les final du cerveau mis en lumière par l'expérience de Jens Dreier est-il à l'origine de l'apparition de cette intense lumière blanche que les personnes ayant fait une expérience de mort imminente disent avoir vue briller au bout d'un mystérieux tunnel ? Cela, l'étude ne le dit pas. Mais l'hypothèse ne paraît pas mystère des expériences de mort imminenteA l'université de Liège, l'équipe du Coma Science Group a constitué une base de données de plus de récits d'expériences de mort imminente EMI. Sur ce corpus, elle en a passé au crible 154. Cette étude qualitative publiée l'an dernier révélait que presque aucun récit ne ressemblait à un autre sur le plan de la chronologie des événements, même si des composantes communes existent bien. La plus récurrente est la sensation de bien-être et de paix présente dans 80 % des récits d'EMI, devant la perception d'une lumière brillante 69 %, la rencontre avec des défunts ou des êtres mystiques 64 % et le sentiment de décorporation 53 %.Il y a seize ans, un neuroscientifique suisse avait déclenché involontairement, chez une patiente épileptique, une telle illusion de sortie du corps en stimulant le gyrus angulaire de sa jonction temporo-pariétale droite. La vague de dépolarisation qui, au seuil de la mort, vient exciter une ultime fois tout l'encéphale - y compris cette zone bien précise - est-elle à l'origine des expériences de décorporation rapportées dans les EMI ?Le fonctionnement électrochimique du neuroneDans tout neurone vivant, il existe une différence de potentiel électrique entre les faces externe et interne de sa différence de potentiel, appelée potentiel de membrane, est due à la présence, sur la face externe, d'espèces chimiques chargées positivement et, sur la face interne, d'espèces chimiques chargées négativement. Ces espèces chimiques sont des ions, principalement des ions de circulation des ions de potassium de part et d'autre de la membrane du neurone, via les canaux ioniques, permet de faire fluctuer la valeur du potentiel de ce potentiel de membrane passe d'une valeur négative, dite de repos », à une valeur positive, correspondant à un état d'excitation, on dit que ce neurone mécanisme électrochimique est ce qui permet aux neurones de communiquer avec leurs voisins sous forme d'influx nerveux.
Lebut : briser le silence autour du deuil et mettre fin à l’un des plus gros tabous de notre société. La journaliste Sarah Dumont a fondé « Les apéros de la mort » en décembre 2018, en France. Le concept : inviter des personnes qui ne se connaissent pas à se réunir autour d’un verre afin d’échanger à propos de la mort.
OÙ EN EST LA SCIENCE SUR LA VIE APRÈS LA MORT ? Pour découvrir la 2ème partie Abonnez-vous à la chaîne pour découvrir nos prochaines vidéos d’experts Réalisation Valérie Seguin et Dominic Bachy Présentation Aurélie Godefroy Narration François-Eric Gendron Ce film présente les études scientifiques et les différents phénomènes observés autour de la mort EMI, décorporations, contacts avec les défunts, visions des mourants, … et réunit pour la première fois un grand nombre de scientifiques réputés sur ce sujet Le Pr. Steven Laureys, plusieurs médecins et neurologues Mario Beauregard, Thierry Janssen, Raymond Moody, François Lallier, Pim Van Lommel, Jean-Jacques Charbonier, Constance Yver-Elleaume, Olivier Chambon, etc. Des biologistes et des physiciens Sylvie Dethiollaz, Philippe Guillemant et Trinh Xuan Thuan. Mais aussi des personnalités notamment l’écrivain Didier van Cauwelaert. Quelles sont leurs conclusions? POUR SUIVRE NOS ACTUALITES Pour comprendre à quel moment s’effectue le PRELEVEMENT D’ORGANES Si vous souhaitez soutenir les recherches d’ISSNOE sur la délocalisation de la conscience Note L. SM Je vous garanti par mon expérience personnelle que la mort n’existe pas. Nous sommes la conscience et non pas un corps. Le corps est un véhicule le temps d’une expérience. Namaste L.
Etsi la mort n'était pas une fin, mais un passage vers un nouvel état. Une vie après la vie. Rencontre avec ceux qui affirment avoir vécu une expérience de mort imminente. Bouleversés, troublés, ces "thanatonautes" sont revenus de leur voyage dans l'au-delà complètement transformés et sans peur de la mort. Ils témoignent
Stéphane Allix nous parle de son livre “Le test”Que se passe-t-il après la mort ? Nos défunts sont-ils confus ou comprennent-ils ce qui leur arrive ? Vivent-ils un temps d’adaptation avant d’évoluer ? Et s’il existait des moyens de les aider ? Et de nous aider à mieux vivre ce deuil par la même occasion ? DISPONIBLE ICI [widget id= »custom_html-14″] Et si la mort n’existait pas ? avec Valérie Seguin sur btlv Avec la complicité de Dominique Bachy, Valérie Seguin est allée à la rencontres de Raymond Moody, de Didier Van Cauwelaert, de Philippe Guillemant, de Nicolas Fraisse, etc..mais aussi de témoins ayant vécu des expériences de mort imminente EMI ou NDE dans le but de comprendre la mort et ses mystères . Que se passera-t-il lorsque nous mourrons ? Où irons-nous ? Subsistera-t-il quelque de chose de nous ? Les témoins des expériences de mort imminente en sont convaincus. Malgré tout, personne ne peut réellement dire que la vie après la mort est une réalité, même si ce film “Et si la mort n’existait pas ?” nous donne de l’espoir sur le sujet. Trouvé sur [widget id= »custom_html-14″]
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et si la mort n existait pas